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 Love Escape (7 & 8)

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Hollister
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Love Escape (7 & 8) Empty
MessageSujet: Love Escape (7 & 8)   Love Escape (7 & 8) EmptyMer 22 Juil - 3:50

    Chapitre VII : Pris au piège


    Le temps semblait s'être figé, comme à chacune de ses apparitions. Une atmosphère glaciale s'était logée au cœur de l'habitat, rendant tout mouvement fluide quasi-impossible tant le gel était incrusté au plus profond de la chair. L'on aurait même pu déceler une couche de givre fraichement formée sur le rebord de la fenêtre, bloquant les rayons du soleil qui, en vain, luttaient de l'autre côté. Helena apparut dans la pénombre, l'air d'un prédateur affamé.
    - Je savais que tu viendrais, Alix, susurra-t-elle, avançant à pas de loup.
    L'intéressée eut un mouvement de recul, se dirigeant vers le mince filet de lumière encore visible près de la fenêtre.
    - Tu ne peux m'échapper, cette fois. Tu es à moi, riait-elle, le regard sauvage.
    Son timbre était à couper le souffle. Alix se trouvait maintenant plaquée contre la vitre gelée, implorant des yeux sa nouvelle amie qui gardait la tête baissée.
    - Pourquoi ne cesse-tu donc de me fuir, Alix ? Ne sommes-nous pas pareilles, finalement ? Fortes, Solitaires, indomptables !
    - Je ne suis pas comme vous ! Explosa Alix, ravalant ses larmes de fureur.
    Le rire de la sorcière s'amplifiait dans la pièce sombre.
    - Oh que si, dit-elle l'air grave, une fois son rire estompé. Oh que si...
    - Qu'attendez-vous de moi ? Gémit-elle.
    Helena scrutait le regard émeraude de son interlocutrice.
    - Ne t'es-tu donc jamais demandé pourquoi je t'avais laissé la vie sauve, l'autre soir ? Susurra-t-elle, les yeux enflammés.
    Alix demeurait, interdite.
    - Pour mon... pouvoir ?
    Les coins de ses lèvres se rehaussèrent, laissant découvrir la blancheur immaculée de ses dents. Elle se rapprochait de plus en plus. Aucune issue n'était désormais encore envisageable. Alix serrait les poings, à l'instar d'un condamné à mort qui guetterait la sentence finale.
    La main d'Helena se dressa devant elle. La lumière devint aveuglante, tandis que la clarté de son esprit s'obscurcissait. Une image, seule et ultime, celle de son amie qui leur tournait le dos.

    Love Escape (7 & 8) 2558217853_2

    Pendant ce temps, à l'extrême Nord de l'île, gisaient sur le sable brulant deux corps inanimés. De loin, une rumeur discrète se faisait entendre. Zara et Beatrix, chacune la trentaine, avaient observé avec attention l'étrange phénomène qui s'était produit sous leurs yeux ; celui de deux créatures étrangères ayant miraculeusement franchi le seuil de l'île. Cette arrivée, pour le moins inhabituelle, n'était non pas passée inaperçue aux yeux des deux uniques enseignantes de l'île, qui, toutes deux possédait une particularité commune : leur don. En effet, chacune d'elles s'étaient, respectivement, vues attribuées d'une logique d'esprit implacable et de connaissances infinies. Cela faisait maintenant quinze ans que ces deux femmes se chargeaient de l'instruction des plus jeunes Elbitiennes et cela ne semblait pas prêt de vouloir prendre fin.
    Beatrix remua rapidement les lèvres :
    - La petite chose semble avoir bougé.
    Zara plissa ses yeux sombres.
    - Tu en es sûre ? Murmura-t-elle doucement.
    - Certaine.
    - Crois-tu que ce soient…
    - Oui, la coupa Beatrix, ce sont deux hommes, ça ne fait aucun doute.
    Zara demeura silencieuse quelque instants, l'air absente.
    - Nous ne pouvons les garder ici, Helena ne le permettra pas, finit-elle par dire toujours sur le ton de la confession.
    Beatrix fronça les sourcils.
    - Helena détient peut-être le pouvoir de l'île, mais elle n'en reste pas moins le sceau de la connaissance, fulmina-t-elle. Imagine ce que nous pourrions apprendre aux sujets des hommes, de la race humaine tellement mystérieuse !
    - Oui, mais…
    Elle n'eut pas le temps de terminer sa phrase que sa compagne s'en allait à grandes enjambées vers la plage.
    - Bea, reviens !
    Après un long soupir, Zara finit par la rejoindre, tête baissée.
    - Je doute que ce soit une très bonne idée, siffla-t-elle à l'adresse de son amie lorsque celle-ci arriva à sa hauteur.
    - En as-tu une meilleure à proposer ? Où préfères-tu qu'Helena s'en charge personnellement ?
    - Admettons que ce soit nous qui nous en chargeons ; Que comptes-tu faire après ? Les enfermer chez toi pour le restant de tes jours ?
    - Possible, plaisanta-t-elle.
    Zara leva les yeux au ciel.

    Love Escape (7 & 8) 2558222791_1

    Les deux femmes stoppèrent leur marche, un mètre les séparaient des deux corps à terre.
    - Regarde, ils dorment.
    En effet, leurs deux poitrines se soulevaient ensemble au rythme régulier de leur respiration.
    - Oh, mais… c'est un enfant ! S'exclama doucement Zara en considérant celui qui, quelques instants plus tôt, avait été désigné comme étant "la petite chose".
    Perdues dans leurs délibérations, les deux femmes ne s'aperçurent pas tout de suite que le petit homme (ainsi l'avaient-elles nommé) commençait doucement à se réveiller. Cependant que ce dernier gardait les paupières closes, il profita de cet instant pour secouer faiblement le bras de l'homme étendu à son côté.
    - Papa, réveille-toi, chuchota-t-il après s'être glissé jusqu'à son oreille.
    Ayant toutes deux perçus le murmure de façon bien distincte, Zara et Beatrix eurent un léger soubresaut, et considérèrent le petit homme avec émerveillement.
    - Quel langage parle-t-il ? S'enquit vivement Zara.
    Beatrix restait pensive.
    - Je n'en suis pas certaine, mais il me semble avoir reconnu quelques intonations françaises.
    - Oui, il me semble aussi, finit par reconnaitre Beatrix après un long moment.
    Cette fois, ce fut au tour de l'homme d'entrouvrir les yeux, éveillé à la fois par le murmure incessant des deux femmes et par l'étreinte insistante de son fils. Sa peau était très blanche et ses cheveux très noirs. Il avait un style soigné et portait un étrange objet sur le visage qui lui recouvrait les yeux, cependant qu'on pouvait y voir au travers. Sa réaction fut plus vive et directe que ce à quoi s'étaient préparées les deux enseignantes.
    - Que s'est-il passé ? Jusqu'où le feu s'est-il propagé ? Il faut fuir !
    Il s'était redressé d'un bond, un peu trop vite cependant car ses deux jambes engourdies se mirent à fléchir d'instabilité. Zara le soutint intuitivement, posant une main ferme derrière son dos. Beatrix la considérait, abasourdie.
    L'homme se retourna et sembla enfin prendre conscience de la présence des deux femmes et de l'environnement dans lequel il se trouvait. Sa sidération montait à chaque instant que ses yeux se posaient simultanément sur la mer, le sable et la forêt.
    Discrètement, le petit être à la chevelure blonde - presque blanche - s'était redressé lui aussi, à moitié dissimulé par les larges épaules de son père.
    - Mais, où est-ce qu'on est ici ? S'offusqua l'homme tout en détaillant l'espace environnant du regard.
    Zara lança un regard inquisiteur à Beatrix qui, pour toute réponse, hocha gravement la tête.
    - Nous... nous trouvvons surr l'île d'Elbe, annonça cette dernière de façon hésitante.
    L'accent n'était pas parfait, mais le grand brun semblait avoir compris.
    Une nouvelle fois, ce dernier reprit le tour de son inspection.

    Love Escape (7 & 8) 2558227831_1

    - Léopold ! Tu n'as rien ? S'exclama-t-il après avoir enfin pris compte de la présence de son fils à ses côtés, les intonations empreintes de soulagement.
    L'enfant avait encerclé la taille de son père de ses bras et y avait enfui sa tête, intimidé par la présence des deux femmes qui ne cessaient de l'épier.
    L'homme sourit tristement et emmêla sa main dans le duvet soyeux qui recouvrait le crâne de l'enfant. Son attention se reporta ensuite vers Beatrix.
    Leur regard se croisèrent un instant et l'homme sembla pourtant subjugué. Jamais de sa vie il n'aurait même imaginé se retrouver un jour confronté face à une telle beauté. Il observa la façon qu'avaient ses cheveux cuivrés à virevolter avec grâce autour de son visage d'ange, bien que l'atmosphère fusse dénuée de vent, à l'instar d'un spot publicitaire à l'effigie de produits coiffants. Ses sourcils bas et arqués, encadraient à la perfection deux topazes plissées surmontées de longs et fins cils noirs. Sa bouche, à la fois pulpeuse - presque tuméfiée - et naturellement rosée était entrouverte, lui évoquant, une fois de plus, une publicité pour rouge à lèvre. Une fois son étude achevée, il tenta un coup d'œil furtif - mieux valait ne pas afficher trop ouvertement son intérêt - en direction de la deuxième créature flanquée aux côtés de la bombe latine. Jackpot. Il venait d'échouer en compagnie de deux "Miss Univers".

    Love Escape (7 & 8) 2558229651_1

    - Il... il ne me semble pas vous avoir aperçues lors de la... traversée.
    Il s'était mit à balbutier, ce qui ne manqua pas d'incendier partiellement son visage pâle.
    Zara dut recourir à des efforts considérables pour ne pas exploser de rire. Elle le trouvait charmant.
    - Nous vvivons icci, annonça calmement Beatrix.
    L'homme ne cacha pas sa surprise.
    - Ça alors ! Et vous parlez français ? Questionna-t-il une fois ses facultés oratoires retrouvées.
    - Oui, reprit Zara.
    Les deux femmes échangèrent un sourire complice.
    - Quels sont vos noms ? Demanda-t-il après un long silence.
    - Beatrix, répondit vivement la première.
    L'homme se tourna ensuite vers Zara, les yeux dévorant, qui, timidement, se nomma à son tour.
    - Moi, c'est Charles. Et voici mon fils, Léopold.
    - Léo, papa, soupira la petite tête blonde derrière son dos.
    Charles rit.
    - Enchanté, en tout cas, reprit-il après avoir reprit du souffle, à l'adresse des deux enseignantes qui affichaient un air interrogateur. Il leur avait tendu la main.
    - C'est ce qu'on fait - chez nous -, lorsque l'on rencontre quelqu'un pour la première fois, rajouta-t-il maladroitement en rabattant aussitôt sa main.
    - Chhez nous, on fait çça :
    Zara mima un baiser du bout des doigts qu'elle déposa sur le sommet du front de Charles. Ce-dernier frissonna au contact de sa peau tiède.
    - Oh, je... bien sûr, ça marche aussi.
    Il s'était remis à balbutier et, cette fois, Zara ne put feindre son rire.
    - Qu'est-il arrivvé à votrre bateau ? S'enquit plus sérieusement Beatrix.
    Charles reprit un air renfrogné. Toute illusion semblait à présent envolée.
    - Ca a été vraiment atroce... commença-t-il, le regard vide. Il y avait beaucoup de brouillard, cette nuit-là, et nous avons heurté un récif. La coque en bois n'a bien sûr pas résisté... mais ce n'est pas tout, rajouta-t-il gravement. Le navire comportait, en réalité, une énorme cargaison de dynamite qui aurait servi à alimenter le feu d'artifice de Paris. Vous savez, celui du quatorze juillet.
    Il fit une pause, guettant la réaction des deux femmes qui le considéraient de manière dubitative.
    - Pardonnez-moi, je dois être complètement idiot reprit-il, le feu aux joues. Bref, lorsque le récif a été percuté, moi ainsi que plusieurs membres de l'équipage nous sommes jetés à l'eau, conscients que l'explosion ne tarderait pas à surgir et...
    - Alors vvous ne l'êtes pas tout à fait, l'interrompit Zara.
    Charles sourcilla.
    - Je vous demande pardon ?
    - Idiot, vvous ne l'êtes pas.
    L'homme eut un sourire embarrassé.

    Love Escape (7 & 8) 2558234787_1

    Soudain, des bruits de pas précipités, étouffés par le sable se firent entendre. Zara et Beatrix se retournèrent.
    - Andy, que fais-tu ici ? Avait lâché cette-dernière - en dialecte - bien avant que les deux étrangers n'eussent le temps de réagir.
    La jeune fille était essoufflée et avait ouvert de grands yeux en constatant la présence des deux hommes en leur compagnie.
    - Professeur... commença-elle, haletante, les yeux vrillant de gauche à droite. Vous - son regard toisa le grand brun - devez partir sur le champ, annonça-elle à l'adresse de Charles et de son fils qui, de toute évidence, ne saisissaient pas un seul mot de cet échange rapide et dont le langage aux tournures incroyablement fluides et douces leur était parfaitement inconnu. Sa voix était montée dans les aigues, signe qu'une véritable menace semblait de mise.
    - Qui est-ce qui t'envoie ? Avait repris Zara, alerte.
    L'homme qui avait, par mainte reprises, entreprit d'ouvrir la bouche, en vain, assistait en parfait spectateur à cette effervescence de paroles inintelligibles mais dont la tension restait évidente.
    - Je... personne, répondit promptement Andy, les yeux baissés. Je vous informe seulement qu'un autre humain a été aperçu et capturé ce matin - elle détourna la tête - par Helena. Si nous voulons éviter que cela se reproduise, il ne faut absolument pas les exposer, et encore moins ici, avait-elle rajouté, plus sûre d'elle.
    Zara s'était alors retournée vers Charles, l'air grave.
    - Quelqu'un pourrait-il me dire ce qu'il se passe ? Brailla-t-il alors.
    - Nous allons vvous cacher, vvous et votre filss, répondit-elle en tâchant de maintenir le rythme de sa voix à mesure humaine.
    Il n'eut pas l'occasion de protester que Beatrix l'empoignait déjà fermement en direction de la forêt, Léopold aux bras de Zara.

    Love Escape (7 & 8) 2558238095_1


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MessageSujet: Re: Love Escape (7 & 8)   Love Escape (7 & 8) EmptyJeu 23 Juil - 13:28

    Juste pour avoir votre avis (et savoir les choses à modifier), je poste le début du chapitre 8 :

    Chapitre VIII : Délivrance


    Quelque part aux aurores, Alix s'éveillait, le tapage matinal des oiseaux tropicaux en guise de réveille-matin, et la première chose qu'elle ressentit fut une violente douleur au niveau de la poitrine. A son dos, un duvet blanc et soyeux lui chatouillait l'échine. L'odeur était particulière. Un mélange de bois chaud et d'orange sanguine venu s'engouffrer par la fenêtre – probablement – entrouverte. Elle ouvrit les yeux, les referma aussitôt. Même ce geste plutôt anodin avait pris des allures de supplice. Ses paupières lourdes et opprimées semblaient incandescentes tant il faisait froid. Alix sentait la peau de son visage s'étendre jusqu'au point d'éclater en mille cristaux de verre. Un étau de glace s'était logé entre ses côtes, rendant sa respiration encore plus pénible qu'auparavant. La douleur, semblable au givre de l'hiver, s'étendait lentement depuis son cœur, parcourant ses veines jusqu'au bout de ses membres, cependant qu'aucune plainte ne s'échappait de sa gorge. Dans sa tête, plus aucun souvenir, plus aucune image. Elle avait froid, très froid. Alix se roula en boule, priant jusqu'à ce que la Mort n'arrive pour abréger ses souffrances. Elle suffoqua. L'étau de glace qui comprimait ses poumons semblait s'être resserré de quelques centimètres encore. La fin était toute proche, sa prière devait avoir été entendue. Lorsque le supplice et la douleur eurent tout deux atteint leur apogée, une bouffée d'air glacé envahit sa cage thoracique. Alix se cambra sous la puissance du choc infligé, aspirant l'important flux d'oxygène, et rendit un dernier soupir.

    Le paradis. Voilà à quoi devait-il ressembler. L'ange blond se tenait là, à quelques centimètres de son visage. Son odeur encore plus enivrante que dans ses brumeux souvenirs. L'azur de ses yeux encore plus éclatant que le ciel lui même. Ses lèvres encore plus tendres qu'elles ne l'avaient jamais été. Une seule et unique ombre au tableau : sa voix, un ténor aux accents graves et veloutés qu'elle entendait pour la première fois, appelait un nom qui n'était pas le sien.
    - Juliette, tu m'entends ?
    Alix ouvrit lentement les yeux, laissant le flux de lumière aveuglante envahir ses prunelles froides jusqu'au fond de ses orbites. Son ange imaginaire ne s'était pas envolé et semblait encore plus magnifique que dans son paradis virtuel.
    Elle cligna des paupières, reprenant peu à peu conscience de la réalité qui l'entourait.
    Partout, plusieurs personnes s'affairaient, alertées par les paroles du blond.
    - Bon dieu, la miss est enfin réveillée ! Entendit-elle un peu à droite.
    - Qu'est-ce qu'elle est belle, souffla une autre juste derrière elle.
    Soudain, un bourdonnement sourd. Des souvenirs ressurgissant dans sa tête. Alix referma les yeux.
    Des images. Beaucoup d'images. De mauvais rêves.
    Deux mains fermes avaient ensuite emprisonné son visage. Les battements de son cœur se stabilisèrent à un rythme normal et Alix rouvrit les yeux pour les plonger à nouveau dans ce regard désopilant qui la fixait avec intensité.
    - Tout va bien ? S'était-il enquit avec attention.
    - Très bien, avait-elle murmuré en anglais.
    Le beau blond lui souriait.
    - J'ai quelque chose pour toi.
    Il fouilla au niveau de la poche arrière de son bermuda, en ressortit un petit mot froissé qu'il lui tendit.
    Alix le déplia et le lu sans un mot. C'était de l'Elbitien.

    Je suis désolée pour tout ce qui a pu t'arriver, si tu savais comme je m'en veux !
    Je t'ai amenée ici avec les autres, tu n'y manqueras de rien. Ne bouge de là sous aucun prétexte.
    Je t'expliquerai tout plus tard quand je reviendrai, fais-moi confiance.

    Encore une fois, désolée,
    Andy


    PS : Désolée aussi pour les cheveux, je n'ai pas su faire mieux.

    Elle le relu une seconde fois, pas totalement certaine de saisir l'entièreté de son contenu. Ensuite, elle porta la main à ses cheveux, en prenant soin d'en examiner la texture. Ils semblaient plus longs. Alertée, celle-ci ramena une fine mèche par devant son épaule, juste sous ses yeux. Ses sourcils se rehaussèrent d'un réel étonnement. Ils semblaient très clairs, tirant vers le gris métallisé.
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Ashlan
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Ashlan


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MessageSujet: Re: Love Escape (7 & 8)   Love Escape (7 & 8) EmptyDim 9 Aoû - 15:05

j'aime bien .
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MessageSujet: Re: Love Escape (7 & 8)   Love Escape (7 & 8) Empty

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